Fantasme D’Être Soumis À Une Femme

Habitué des sites de rencontre et particulièrement de ceux pour Domina/Soumis, je rêvais d’être soumis à une femme dominatrice.
Un jour, j’avais enfin réussi à intéresser une Maîtresse dans la cinquantaine. Cependant, elle n’avait pas été vraiment convaincue par nos échanges de mails.
En effet, j’étais assez déterminé mais je n’avais aucune expérience dans le domaine de la domination. Aussi, j’avais eu du mal à convaincre une Maîtresse de m’accueillir. Pourtant, mon opiniâtreté m’avait permis de décrocher un rendez vous avec une Maîtresse du nom de Lisa. Elle m’avait donné rendez-vous dans un bar parisien du 7ième arrondissement.
Elle m’avait prévenu qu’en aucun cas il ne s’agissait d’un essai. En effet, elle devait décider si dès l’issue de la rencontre, j’intégrerais son cheptel sans espoir de retour ou si elle me jetait de suite. C’était ses propres mots.
Le cœur battant, j’étais arrivé en avance afin de voir entrer ma future Maîtresse. Je n’étais pas sûr de la reconnaître à partir des seules photographies du site de rencontre.
Ainsi, je vis arriver une femme qu’il me semblait reconnaître mais qui était accompagnée d’une plus jeune femme d’une petite trentaine d’années. Elles s’installèrent à quatre tables de moi.
A l’heure du rendez vous, il me semblait que chacun de nous cherchait son interlocuteur. C’est ainsi que je vis la plus âgée me montrer du doigt à sa jeune compagne et l’envoyer vers moi. Cette dernière s’approcha et me demanda sans gêne aucune : « c’est bien toi le candidat à la soumission par Maîtresse Lisa ». Je répondis interloqué et en balbutiant : » oui… »
Elle se retourna, adressa un signe de confirmation à sa compagne qui nous fit signe de la rejoindre.
Je m’installai en face des deux femmes. Mon Cœur battait à tout rompre.
La femme la plus âgée se présenta comme Maîtresse Lisa et me dit :
- « Alors c’est toi le novice candidat à la soumission ! »
- « Oui » répondis je, simplement.


- « Je te présente une de mes soumises, mais aussi dominatrice quand je le permets » dit-elle en me présentant sa jeune accompagnatrice répondant au nom de Méa.
- « Alors dis moi ce qui te motive particulièrement car j’ai besoin de te cerner ».
- « Que voulez vous savoir ? »
- « Quelles sont tes aspirations, tes fantasmes, que tu veux réaliser ? »
- Gêné, je me lançais quand même : « Ce qui m’intéresserait, dis-je, c’est la féminisation et la soumission ».
- « Et, es tu bien conscient de tout ce que cela implique ? »
- « Oui, je crois » dis-je, interrogatif. Cela avait l’air de lui suffire.
- « Bien, dans ces conditions si tu es sûr de toi, tu vas maintenant faire ce que je te demande. Tu vas descendre aux toilettes des hommes, puis sortir ta queue par ta braguette. Dans 3 minutes, tu me rejoins dans les toilettes des dames, la queue dehors bien visible ! »
J’acquiesçais et aussitôt je descendis sans mot dire aux toilettes. Sur place, je m’exécutais en restant caché d’éventuels autres utilisateurs du lieu et je comptais les minutes.
Je sortis des toilettes des hommes une main cachant ma nudité partielle et je rentrais dans les toilettes des dames opportunément libres. J’ouvris toutes les portes et découvris Maîtresse Lisa assise sur une cuvette, culotte baissée sur les chevilles et qui me fit signe de rentrer et de fermer la porte.
- « Baisse ton pantalon, ouvre ta chemise, écarte tes jambes et approche que je te suce ! » ordonna t elle.
Elle me pinça le bout des seins et entreprit une pipe inconnue qui me mit tout de suite dans un état d’excitation sommitale.
Elle m’ordonna alors de me finir et d’éjaculer sur sa chatte lisse, ce que je fis dans la seconde.
Mes jambes ne me portaient plus mais de toutes façons elle m’intima l’ordre de me mettre à genoux et de lui nettoyer complètement la chatte avec la langue ce que je fis autour et dedans avec application.
Pendant que je m’exécutais, je sentis ses mains me poser un collier bien serré autour du cou.

Alors, Maîtresse Lisa me dit :
-« Ton empressement me permet de penser que je pourrais faire de toi une bonne chienne soumise et obéissante. Hein ? tu es d’accord ? » « je suis d’accord » répondis-je « Je vais remonter et d’ici à quelques minutes et tu me rejoins là haut. Tu dois maintenant conserver ce premier attribut de soumis ! » Elle me montra le collier. J’opinai.
Je la laissais s’éclipser et regagnais les toilettes des hommes pour me remettre et me regarder dans une glace. J’étais ailleurs.
J’arrangeais au mieux le collier en cuir muni de 4 anneaux mais peu large heureusement. J’arrivais à le cacher peu ou prou derrière mon col de chemise puis je remontais tête baissée.
Je me rassis devant les deux femmes et Maîtresse Lisa dit à Méa:
-« Bien, je crois qu’on vient de dégotter une bonne salope, à éduquer bien sûr mais qui semble disposer des qualités requises ! »
Tout en disant cela elle dirigea son mobile vers moi et déclencha une vidéo où je me vis, bandant, me branlant et la suçant à pleine bouche.
- « ça c’est mon assurance au cas où tu reculerais « me dit-elle » car maintenant tu m’appartiens et c’est moi qui désormais dirige ta vie. Toi, tu n’as plus qu’à exécuter mes ordres ou ceux des personnes auxquels je pourrais te confier ». Je n’avais rien vu de la manœuvre évidemment.
Nous sommes bien d’accord ?
-« oui » balbutiais-je
-« Ah ! et oui qui ? « : dit-elle en m’attrapant le visage par le menton sans douceur.
-« Oui Maîtresse ! »
-« C’est mieux, tâche de t’en souvenir, maintenant, tu es ma chose et tu m’obéis au doigt et à l’oeil et tu obéis de la même façon à Méa ! »
S’adressant à sa soumise, elle sorti de son sac et lui tendit une laisse et dit :
-« je te la confie et tu me la prépares comme tu sais pour ce soir ! »
-« A ce soir petite salope » : me dit-elle en me passant la main dans les cheveux « offerte et au mieux de ta forme. Tu as intérêt ».
Puis elle prit congé.

Méa demanda l’addition des consommations que je payais. Ensuite, elle se pencha vers moi et m’accrocha la laisse à l’un des anneaux de mon collier d’esclave.
Nous partîmes et je faisais tout pour rester près d’elle afin que la laisse ne se tende pas pour de ne pas être remarqué par les passants.
Nous prîmes un taxi. Méa donna une adresse au chauffeur. Dix minutes plus tard, nous arrivâmes devant un immeuble où le trottoir à traverser était large. Il y avait beaucoup de monde. Je collais Méa sans regarder personne,
Nous entrâmes dans un immeuble cossu et prîmes un ascenseur qui nous conduisit directement dans un institut de beauté.
Toutes les employées semblaient connaître Méa qui ne s’arrêta pas à l’entrée. Elle me tirait derrière elle prestement. Croisant des femmes en peignoir, elle s’écria à la cantonade :
-« facesitting gratis pour celles qui veulent ! »
Nous arrivâmes dans une pièce avec une table d’examen médical. Elle m’ordonna de me mettre à poil.
-« Tu va être totalement épilée et puis tu seras maquillée. Pour l’instant allonge toi sur le dos et laisse ta tête pendante au bout de la table, tu devras sucer jusqu’à l’orgasme toutes les chattes qui vont chevaucher ta bouche. »
L’épilation dura suffisamment de temps pour que j’aie le temps de satisfaire trois femmes dont je n’ai jamais vu le visage.
Une fois dépoilé, on m’assit devant une glace pour une séance de totale féminisation du visage, fard, rouge à lèvres, faux cils. Puis mes ongles de mains et de pieds furent recouverts de vernis écarlate. La séance se termina par la mise en place d’une perruque blonde à la coupe garçonne.
Ceci étant fait, il était déjà tard dans l’après midi. Méa m’ordonna de me rhabiller avec mes propres vêtements. Elle remit la laisse en place, nous re- traversâmes l’institut sans passer inaperçus de visages pleins de sous entendus et nous descendîmes prendre un autre taxi qui attendait devant l’immeuble. J’avais une tête de femme sur « encore » une allure d’homme, ce qui interpella les quelques passants présents dehors.

Nous nous rendîmes alors dans un grand Sexshop juste avant l’heure du dîner. A peine entrés, Méa appela une vendeuse qu’elle semblait bien connaître. Puis devant celle-ci, au milieu de la boutique, elle m’ordonna de me mettre nu ce qui me déstabilisa totalement mais je m’exécutais en pensant aux ordres de Maîtresse Lisa.
On me conduisit ainsi, nu, dans les rayons au milieu des clients. On me choisit un mini string en dentelle blanche tout transparent. Il se nouait de chaque côté et comportait un simple cordon entre les fesses. Je n’eus pas le droit à un soutien gorge. Cela fut jugé totalement inutile « pour l’instant… ! » ajouta Méa. Affirmation qui me laissa perplexe pour la suite ?
Méa me choisit, également, un serre taille seins dehors, en dentelles blanches que la vendeuse me laça très très serré dans le dos, j’avais du mal a respirer. Elle accrocha enfin les quatre lanières de porte jarretelles blanches à des bas blancs transparents qu’elle me fit enfiler.
J’avais ainsi l’air d’une novice entrant au couvent ou d’une mariée encore vierge.
Méa m’amena enfin une jupe très courte en cuir rouge vermillon qui laissait apparaître le haut des bas et un boléro sans manche en cuir de la même couleur également qui s’attachait par un seul bouton. Enfin m’ayant demandé dans le taxi ma pointure avant d’arriver au Sexshop, elle s’état procuré une paire de chaussures à talons très hauts, rouge également.
J’avais désormais l’aspect d’un vrai travesti, provocant à souhait : visage outrageusement maquillé, décolleté plongeant, jupe ultra courte, fesses pratiquement dehors et nues. Elle me tira ainsi vêtu et totalement féminisé à la caisse.
Je dus payer non sans m’avoir fait prendre en sus une cage de chasteté, un plug très particulier car terminé par une vraie queue de chien avec de vrais poils et enfin des pinces à seins reliés par une chainette sécable.
Elle fit emballer le tout, dans un paquet cadeau. Elle garda avec elle, mes vêtements d’homme que » je n’allais pas revoir de si tôt » dit-elle.
Nous reprîmes un taxi jusqu’à un immeuble dans l’île Saint Louis.
Nous montâmes dans un appartement où elle entreprit de m’apprendre toute la soirée à me comporter et à marcher en ondulant de la croupe comme une pute tantôt nue, tantôt habillée et j’étais contraint de paraître ultra féminine et particulièrement aguicheuse.
Je m’en tirais le mieux possible afin d’éviter les coups d’une petite badine anglaise qu’elle maniait avec un plaisir sadique.
Vers minuit ayant acquis à peu près la démarche chaloupée nécessaire d’une racoleuse patentée, démarche dont elle paraissait assez satisfaite, elle décida que nous partions pour une destination absolument inconnue. Méa, s’était changée et était habillée exactement à l’identique de moi. Cela me surprit, si ce n’était la différence d’âge on eut dit des jumelles. Mais je n’eus pas le temps d’y prêter plus d’attention car elle me mit un bandeau sur les yeux avant de me pousser à l’intérieur de l’ascenseur puis d’un taxi.
Nous roulâmes environ quarante cinq minutes et pendant ce temps, à haute voix, elle devisait à l’aide des questions fermées auxquelles je n’avais pas à répondre : « Alors comment te trouves-tu en trav. ?... Te sens-tu bien femelle ?... Te trouves-tu attirante ?... Commences tu à être attirée par les mâles ?... Crois-tu que tu vas les exciter ?... t’imagines-tu comment tu vas les satisfaire ?... « Et à quoi tu vas leur servir avec ton nouveau corps de femelle?... » Elle disait cela tout haut et je sentais sans le voir, le regard lubrique du chauffeur qui avait compris et n’en perdait sans doute pas une miette. Au comble de la honte nous arrivâmes enfin à destination.
Je me sentis tiré dehors par ma laisse et le chauffeur descendu en profita pour me peloter les fesses. Je marchais avec grande difficulté dans du gravier. Enfin, nous entrâmes dans un lieu où on entendait de la musique.
Méa me retira d’un coup mon bandeau. J’ouvris les yeux et Méa me confia le paquet cadeau confectionné au Sexshop. Nous descendîmes des escaliers pentus et difficiles à négocier avec des talons d’au moins 10 cm. Dans l’endroit où nous arrivâmes je découvris une salle de discothèque, chaude et mystérieuse à la fois. Il y avait là de nombreuses personnes dont 3 ou 4 étaient nues avec des colliers d’esclaves. Au milieu de tous, se trouvait Maîtresse Lisa radieuse et magnifique en ordonnatrice de cérémonie.
-« Alors » : dit-elle en faisant faire silence, « Voici ma nouvelle recrue.
Mais elle est superbe!. Oh! Elle m’a aussi apporté un cadeau.
« Regardez la bien, cette petite chienne. Elle a sollicité elle même ce matin mes compétences de dresseuse. Elle va mettre en application mes instructions dès ce soir » s’exclama-t-elle en me faisant tourner sur moi même à plusieurs reprises.
40 paires d’yeux au moins me transperçaient.
Elle me dit :
-« Bonsoir et que dit-on à sa Maîtresse ? »
-« Bonsoir Maîtresse » répondis-je
-« Mieux que cela, Salopine c’est le nom que tu vas porter désormais. Dis avec déférence et à haute voie que tu me remercies et que tu es fière d’être là pour moi et désormais à mon service exclusif ».
- Je construisis une phrase rapide dans ma tête et dis » Bonsoir Maîtresse ! Vous me faites beaucoup d’honneur de m’avoir choisi et de me permettre de vous servir et de satisfaire vos amis ».
- « Servir et me servir, pour sûr. Quant à satisfaire mes amis ! Ah, tu ne sais pas encore comment ? Qui ? Combien ? Et pour quoi faire ? » : s’exclaffa-t-elle dans un rire sardonique suivi des rires entendus de tous.
Elle ordonna à Méa de me tirer au milieu de la petite piste de danse derrière elle. Là, devant tous dont elle avait requis l’attention et le silence, elle ordonna à Méa à voix haute de faire toutes les deux un striptease intégral.
Mea, manifestement heureuse et aguerrie, fit tomber ma jupe d’abord, puis la sienne. Elle tournait lascivement autour de moi. Elle me retira mon boléro et fit de même avec le sien. Puis elle ôta son soutien gorge qui laissa apparaître une petite poitrine ferme. Enfin en passant derrière moi elle tira adroitement sur les nœuds de mon string des deux côtés en même temps. Celui-ci tomba à mes pieds.
J’étais alors totalement nu, offert à la vue de tous dans un accoutrement qui ne prêtait à aucune illusion sur mes futures obligations et compétences supposées.
Méa me demanda alors de mettre mes mains derrière la tête, jambes un peu écartées et d’esquisser lentement quelques ondulations en tournoyant sur moi même. Je me retrouvais ainsi me déhanchant, m’exhibant juste vêtu d’un corset, de bas et d’escarpins, la queue et les fesses offertes aux regards concupiscents de tous.
Maîtresse Lisa alors m’ordonna sèchement de me mettre à genoux devant Méa et exigea : « ôte lui sa culotte avec ta bouche ».
Interloqué, je fis au mieux avec mes dents pour attr sa petite culotte à la lui fis coulisser jusqu’aux pieds en tournant autour d’elle.
Quand ce fut fait je relevais la tête et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que Méa était en fait un superbe travesti avec de petits attributs masculins.
Maîtresse Lisa m’intima alors l’ordre de lécher et de sucer langoureusement le petit clito de Méa et de le prendre dans ma bouche jusqu’à ce que sa soumise qui entamait un va et vient fougueux jusqu’au fond de ma gorge, bande et me fasse l’honneur de m’inonder de sa semence.
C’était la première fois pour moi que je suçais une bite et que j’allais avaler et je compris que j’étais désormais dans un monde initiatique sans retour.
Méa en quelques minutes se soulagea avec force et joie dans ma bouche et m’obligea à flatter et à nettoyer son clito consciencieusement.
Je n’ai pas trouvé cela désagréable, au contraire. Etais-je franchement la sacrée salope, bien jaugée par Maîtresse Lisa ? Elle m’ordonna de la rejoindre
« Chers Amis avez vous apprécié les prédispositions de ma nouvelle recrue, notre nouvel objet sexuel de la soirée ?
Je vais l’éduquer, la dresser, la façonner en très accueillante salope, toujours disponible, offerte et avide de chattes et de bites, prête à tout pour tous. Une fois dressée elle pourra vous être prêtée ou louée pour pimenter vos soirées privées et satisfaire vos scenarios, vos délires sexuels les plus débridés et ceux de vos amis «
Ce disant, elle ouvrait le paquet cadeau que je lui avais offert en arrivant, elle sortit tout d’abord le plug et m’ordonna de me tourner, de me pencher en avant, jambes écartées et tendues. « Présente nous ta chatte de trav. et ouvre la grande avec tes mains ».
-« N’est-il pas seillant et suggestif ce plug? » : lança-t-elle à la cantonade en le montrant à tous et elle ajouta:
-« je vais lui enfourner ce plug à queue de chien dans la chatte. Cette chienne l’arborera désormais en permanence, caractérisant ainsi parfaitement son nouvel état de chienne dressée et soumise. Au surplus ce plug devrait l’obliger à onduler de la croupe, rendre son cul excitant et surtout permettre à sa chatte de travestie de se dilater, de s’assouplir et de se devenir et rester accueillante et utile pour la suite des réjouissances... »

Elle demanda à Méa de me graisser la rondelle avec un onguent et elle me pénétra avec dextérité et s’assura que le plug restait bien en place, queue dressée comme une vraie queue de chienne, plus vraie que nature en effet.
J’avais vraiment l’air d’une chienne et c’était pour moi la toute première fois d’être rempli de ce côté. A ma grande surprise je ne ressentais pas vraiment de gène au contraire j’en bandais même comme un cerf.
Elle m’ordonna alors de me tourner et de montrer à tous « ces attributs masculins sans intérêt qui n’allaient plus servir à rien ».
Elle m’ordonna de me branler en m’exhibant bien devant chaque invité installé en rond autour de moi et je devais les assurer à voix haute de mon impatiente envie de les sucer ou de les lécher selon leur sexe et leurs désirs.
Puis me sentant prêt à éjaculer elle attrapa la main d’une femme dans laquelle elle m’ordonna de me soulager et je dû laper le contenu en nettoyant bien chaque doigt.

Ainsi après que ma bite soit revenue à des proportions jugées plus seyantes qu’elle devait dorénavant conserver, « elle y veillerait » dit-elle, elle m’installa le CB 6000 que je lui avais apporté. Elle m’attrapa par la queue sans ménagement, me tira à elle et m’ajusta la cage de chasteté, la ferma à clef qu’elle accrocha au collier d’esclave que portait aussi sa dévouée Méa qu’elle embrassa goulument à pleines lèvres. On sentait une osmose totale entre elles.
Enfin, elle me tira le bout des seins et m’accrocha les pinces-bijoux reliées par une chaine lâche qui permettait en la divisant par le centre d’accrocher sans doute des poids ou autres.
Voilà, Chers Amis, cette chienne soumise est maintenant prête.
J’avais l’air en effet désormais d’une parfaite esclave, prête sexuellement à tout subir et à tout satisfaire, avec appréhension certes mais doublée d’ une certaine satisfaction de ma part.
Elle tendit alors à Méa la laisse qui était toujours pendante à mon collier dans mon dos et lui dit :
« Maintenant et pour commencer promène Salopine parmi nos Amis. » Tous, » dit-elle à haute voix « vous pouvez en user et en r à votre guise. Je parle de sa bouche bien sûr dont elle vous a promis les services tout à l’heure car, moi je me réserve son cul planté de cette queue qui caractérise si bien son état. Sa chatte de soumise satisfera à des festivités singulières et plus tardives, vous me connaissez ma dextérité et mon imagination... »
-« Allez » : fit-elle d’un revers de main « et SVP, notez moi ses performances » et se penchant vers moi elle me m’intima : » tu as intérêt à être à la hauteur : gouine lascive avec les femmes, et catin en chaleur avec les hommes, une experte insatiable en quelques sortes ce que je sens que tu es au fond de toi et que tu veux parfaire, n’est ce pas Salopine ?
« Oui, absolument, Maîtresse LISA », assurais-je en la regardant dans les yeux et en l’assurant de ma soumission entière et souhaitée, à ses moindres désirs. « Mais j’y compte évidemment, tu n’as d’ailleurs plus d’autre choix » répondit-elle. Je vais faire de toi une reine, une reine sexuelle une reine insatiable, qui n’aura de cesse que d’être baisée par tous et par les trous avec gourmandise. Tous vont m’envier et me jalouser ma nouvelle conquête »
« En piste ma salope, fais moi honneur » fit-elle à me tapant sur les fesses.
Méa me contraignit alors avec fermeté à me mettre à genoux, je voyais son cul onduler devant moi, de très jolies fesses plantées d’un rosebud diamant du plus bel effet, des fesses pleines de promesses pour d’autres mais qui ne cessaient de me faire m’interroger avec crainte sur ce que les miennes allaient subir plus tard, d’attirance dominatrice et de perversité sexuelle.
Méa m’entraînait maintenant, à genoux comme une chienne que j’étais devenue au propre comme au figuré, me tirant par la laisse vers un couloir circulaire bordé d’alcôves ouvertes où s’égayaient des couples, des femmes, des hommes, des transgenres auxquels elle proposait pour l’instant mes services buccaux comme un colporteur vante sa camelote. Ceci afin de satisfaire des plaisirs pervers et débridés.
Je n’avais pas le loisir de réfléchir à la suite, désormais sissy soumise, toute entière tendue, attentive et dévouée à la satisfaction de chattes humides, de bites turgescentes ou de culs ouverts dont les propriétaires devaient en outre apprécier et noter mon savoir faire et mon entrain à flatter leurs exigences orgasmiques.

A genoux, bouche offerte j’entreprenais l’office qui m’était désormais dévolu sur les ordres de ma Maîtresse et il faut bien le dire j’y prenais goût. Pour commencer et m’aguerrir, je léchais, je suçais, j’avalais, je flattais des sexes de toutes sorte et mêmes des culs et leur fondement et je m’appliquais car au fond à vrai dire cela me plaisait fort.

J’étais devenu en réalité et complètement l’objet sexuel longtemps imaginé dans mes fantasmes qui au surplus appréciait de procurer du plaisir en en prenant aussi je l’avoue. Et la soirée ne faisait que commencer …

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